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Davantage d’emplois (de qualité) ! Comment les jeunes chômeurs pourraient-ils trouver un emploi si ceux qui en ont un doivent prolonger leur carrière jusqu’à 67 ans ? Entre-temps, les employeurs bénéficient de milliards d’allégements de cotisations sociales, sans la moindre obligation de les convertir en emplois.

Un revenu correct ! De nombreuses factures vont augmenter (bus, train, poste, accueil de la petite enfance, école, diesel, etc.). Or le salaire ne suivra pas à cause du saut d’index, auquel s’ajouteront deux années de blocage salarial. Tous les autres revenus (des sociétés, des professions libérales, des actions, des placements, des loyers…) échappent à ces mesures. Il n’y a pas de saut d’index pour eux.

Davantage de sécurité sociale fédérale ! Le gouvernement va opérer des coupes claires à hauteur de 2,8 milliards d’euros dans les soins de santé. Et de 2,07 milliards dans les autres dépenses sociales. Ce sont les chômeurs temporaires, les malades, les travailleurs à temps partiel involontaire, les jeunes en fin de scolarité… ce sont les ménages ordinaires qui seront à nouveau touchés.

Des services publics forts ! L’Etat se voit retirer ses compétences. Des économies énormes sont imposées à la SNCB, à l’enseignement, aux soins de santé, aux services d’aide… Ce sont de nouveau les gens ordinaires qui vont être pénalisés, car les riches achètent eux-mêmes ces services sur le marché.

Davantage de justice fiscale ! Les travailleurs sont déjà les plus lourdement taxés. Le saut d’index augmente encore cette imposition de 2%. Les gens ordinaires vont encore devoir payer la facture. Les plus forts font donc davantage porter la charge par les plus faibles. C’est fondamentalement injuste.
Cette politique est injuste, déséquilibrée et inéquitable.

Voilà pourquoi nous sommes en grève !

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